Ma nouvelle passion : le vélo artistique

Vous me connaissez pour mes coups de gueule dans Maison à vendre, mes fous rires sur les plateaux télé et mes aventures immobilières… Mais aujourd’hui, je vais vous parler d’une toute nouvelle aventure qui m’embarque loin de mes appartements parisiens : le vélo artistique !

Comment tout a commencé

Je ne vais pas vous mentir : quand on m’a proposé d’essayer le vélo artistique, je me suis dit « Stéphane, qu’est-ce que tu vas encore inventer ? » Mais voilà, la curiosité l’a emporté. Et puis, après des années à visiter des appartements, à monter des escaliers et à courir partout, je me suis dit qu’il était temps de tester quelque chose de complètement différent.

Le vélo artistique, c’est ce sport fascinant où l’on fait des figures acrobatiques sur un vélo spécial, avec beaucoup d’équilibre et de grâce. Un mélange entre la danse, la gymnastique et… eh bien, le vélo ! Ça paraît simple comme ça, mais croyez-moi, c’est une autre paire de manches.

Mes premiers pas… ou plutôt mes premiers coups de pédale

Les vidéos de mes débuts parlent d’elles-mêmes. On m’y voit concentré, parfois un peu perdu, souvent en train de rire de mes propres maladresses. Parce que oui, entre nous, l’équilibre sur un vélo fixe qui ne ressemble à rien de ce qu’on connaît, c’est sportif !

J’enchaîne les exercices : tenir en équilibre, trouver la bonne posture, comprendre comment mon corps doit bouger. Chaque petite victoire est une fierté. Chaque chute (parce qu’il y en a !) devient une anecdote à raconter. C’est exactement ce que j’aime : me lancer des défis, sortir de ma zone de confort et m’amuser en le faisant.

Cette discipline demande une précision millimétrique. Un geste trop brusque, un déséquilibre d’un centimètre et hop, c’est raté. Mais justement, c’est ce qui rend la chose passionnante. On progresse petit à petit, et chaque réussite a un goût de victoire personnelle.

Ma coach Valentine : l’atout maître de cette aventure

Je ne serais rien sans ma coach dans cette histoire. Valentine Rieb, c’est son nom, et croyez-moi, c’est une véritable experte. Elle enchaîne les figures avec une fluidité déconcertante : montées, pirouettes, équilibres parfaits… Elle rend tout ça tellement facile qu’on en oublierait presque les heures d’entraînement derrière.

Valentine me guide avec une patience infinie. Elle corrige ma posture, m’explique les mouvements, me rassure quand je doute. Comme elle le dit si bien : « Au départ, il faut travailler l’équilibre et la posture. » Et c’est exactement ce qu’on fait, exercice après exercice.

Entre nous, il y a cette complicité qui fait que l’entraînement devient un vrai moment de partage, pas juste une séance de sport. Grâce à elle, j’apprends que le vélo artistique, c’est vraiment un art. Chaque mouvement est pensé, chaque figure raconte quelque chose.

Ce que Valentine dit de mon apprentissage

Valentine ne mâche pas ses mots, et c’est ce que j’apprécie. Elle m’explique que « le vélo artistique, ce n’est pas seulement de la technique, c’est aussi une question de grâce et de fluidité. » Et franchement, c’est ce qui me plaît dans cette discipline.

Elle insiste beaucoup sur un principe : « Dans ce sport, la clé c’est la répétition : refaire, encore et encore, jusqu’à ce que le geste devienne naturel. » Alors oui, je répète, je retravaille, je recommence. Mais elle voit les progrès : « On voit vraiment ses progrès séance après séance », me dit-elle. Et ça, ça me motive énormément !

Ce qui me touche particulièrement, c’est quand elle souligne que je n’essaie pas de brûler les étapes. Elle observe que « Stéphane ne cherche pas à brûler les étapes, il assimile pas à pas et ça se voit. » C’est vrai que j’ai appris avec le temps qu’il valait mieux construire solide plutôt que vite.

Valentine insiste aussi sur la dimension mentale : « Au-delà de la technique, il y a une vraie dimension mentale dans ce sport. » Et c’est là que ça devient passionnant. Il faut être concentré, gérer la pression, transformer chaque difficulté en opportunité d’apprendre.

La réaction de mon père : entre surprise et fierté

Mon père ne s’attendait vraiment pas à ça. Comme il le dit lui-même : « Je n’aurais jamais imaginé voir Stéphane se lancer dans le vélo artistique. » Et je le comprends ! Moi non plus, je ne m’y attendais pas.

Mais ce qui le touche, c’est ma façon de m’investir, « ce qui m’impressionne, c’est qu’il ne fait pas les choses à moitié : il se donne à fond. » C’est vrai que quand je m’engage dans quelque chose, j’y vais vraiment. Pas question de faire semblant.

Un regard paternel sur mes efforts

Mon père voit les coulisses, les entraînements, les moments difficiles. Il rappelle cette réalité que beaucoup oublient : « Les gens voient quelques minutes de démonstration, mais derrière il y a des heures et des heures d’entraînement. » C’est exactement ça. Ce que vous voyez en quelques secondes de vidéo, c’est le résultat de séances entières à transpirer, à tomber, à recommencer.

Il note aussi ma persévérance : « Stéphane s’accroche, même quand c’est difficile, et ça force le respect. » Parce que oui, c’est difficile, « C’est un sport qui mélange force, équilibre et élégance, et Stéphane s’y investit vraiment. »

Ce qui me va droit au cœur, c’est quand il me dit : « Je le vois heureux sur ce vélo, et ça me touche beaucoup. » Parce qu’au fond, c’est ça l’essentiel. Le bonheur de découvrir, d’apprendre, de progresser.

La ténacité avant tout

Mon père connaît mon caractère. Il sait que « ce n’est pas facile, il tombe parfois, mais il se relève toujours. » C’est ma devise dans la vie : on tombe, on se relève, on repart. Il l’exprime parfaitement : « Stéphane a cette force de caractère : il ne lâche rien tant qu’il n’a pas réussi. »

Sa fierté me touche profondément. Il confie : « Je suis très fier de lui, parce qu’il ose se lancer là où on ne l’attend pas. » Et c’est peut-être ça qui définit le mieux cette aventure. Oser. Se surprendre soi-même. Repousser ses propres limites.

Il conclut avec des mots qui résument tout : « Ce vélo artistique, c’est plus qu’un sport : c’est devenu une passion qui le rend heureux. » Et il a tellement raison.

Pourquoi le vélo artistique me passionne autant

Vous allez me dire : « Stéphane, pourquoi tu te compliques la vie ? » Eh bien, parce que cette discipline réunit tout ce que j’aime :

La performance physique : croyez-moi, tenir en équilibre sur un vélo qui ne bouge pas, ça fait travailler tous les muscles. Le gainage, l’endurance, la coordination… On ne rigole pas ! Valentine le confirme : « Il vient avec la même détermination à chaque entraînement, et ça, c’est la clé. »

L’expression artistique : j’ai toujours aimé être sur scène, jouer, créer. Ici, c’est pareil. Chaque figure devient une petite chorégraphie. Il y a de l’esthétisme, de la fluidité, de la mise en scène. D’ailleurs, Valentine remarque quelque chose qui me touche : « Il ne fait pas juste les mouvements, il y met sa personnalité. C’est ce qui rend sa pratique touchante et différente. »

Le dépassement de soi : à mon âge, beaucoup hésiteraient à se lancer dans un sport aussi exigeant. Moi, ça me motive ! Apprendre, tomber, recommencer… C’est cette énergie-là qui me fait vibrer. Comme le souligne Valentine : « Stéphane ne recule pas devant la difficulté, il accepte l’effort et ça paye. »

Le vélo artistique, c’est un peu mon nouveau terrain de jeu. Un endroit où je peux être moi-même, me challenger et découvrir des sensations nouvelles.

Un apprentissage sérieux et rigoureux

Ne vous y trompez pas : derrière les sourires et l’autodérision, il y a un vrai travail de fond. Depuis plusieurs mois, je m’entraîne deux fois par semaine, et cette régularité fait toute la différence. Valentine le reconnaît : « On sent qu’il prend ça au sérieux, comme un vrai sportif de haut niveau. » Elle apprécie particulièrement ma constance : « Il vient avec la même détermination à chaque entraînement, et ça, c’est la clé. » Et c’est vrai que je m’impose une discipline.

Elle apprécie aussi ma capacité à rester concentré : « Stéphane arrive à garder son calme et à rester focus, même dans les moments difficiles. » C’est essentiel dans ce sport où la moindre perte de concentration peut tout faire basculer.

Et puis, il y a la confiance qui se construit peu à peu. Valentine observe : « Il a pris confiance, et ça change complètement la façon dont il bouge sur le vélo. » C’est exactement ça : au début, on est crispé, on doute. Puis progressivement, on se relâche, on ose, on s’exprime.

Partager cette aventure avec vous

Si je vous parle de tout ça aujourd’hui, c’est parce que j’ai envie de partager cette passion avec vous. Après la télé, le théâtre, l’immobilier, voilà un nouveau chapitre qui s’ouvre. Et franchement, je trouve ça excitant de vous emmener dans cette découverte.

Le vélo artistique reste assez méconnu du grand public. Pourtant, c’est un sport magnifique, un mélange parfait entre acrobatie et poésie visuelle. Si mes vidéos peuvent donner envie à quelques-uns d’entre vous de découvrir cette discipline, alors j’aurais réussi mon pari.

Parce qu’au final, c’est ça qui compte : continuer à se surprendre, à apprendre, à vivre intensément. Et si ça passe par des équilibres impossibles sur un vélo, eh bien tant mieux !

Valentine résume bien l’esprit de cette aventure : « On sent qu’il prend du plaisir, même dans les exercices les plus simples. » Et c’est précisément ce plaisir que je veux transmettre. Celui de découvrir, d’apprendre, de progresser. Elle ajoute quelque chose qui me touche beaucoup : « Il ne fait pas juste les mouvements, il y met sa personnalité. C’est ce qui rend sa pratique touchante et différente. »

Prochaine étape : le Championnat de France !

L’aventure ne fait que commencer, et je suis ravi de vous annoncer que je vais participer à ma première compétition de vélo artistique ! Et pas n’importe laquelle : avec Valentine, direction le Championnat de France. On rêve d’une médaille… et on va tout donner pour l’avoir !

C’est un défi qui me fait à la fois peur et terriblement envie. Le Championnat de France, c’est énorme, c’est intimidant, mais c’est exactement le genre de challenge qui me motive. Je vais tout donner, et évidemment, je partagerai toute cette expérience avec vous sur mon Instagram.

Vous pourrez suivre mes derniers entraînements, mes préparatifs, mes moments de stress et, je l’espère, de fierté le jour J. Restez connectés, parce que je compte bien vous embarquer avec moi dans cette nouvelle aventure !

Rendez-vous sur Instagram pour vivre ce Championnat de France à mes côtés. Je vous réserve encore quelques surprises…